En plus de l’assurance de prêt, il existe d’autres garanties qu’il est possible de mettre en place pour garantir votre crédit immobilier. Celles-ci permettent à votre banque de récupérer son dû en cas de défaillance de paiement de votre part. L’hypothèque

A moins d’être couvert par un organisme de caution, la souscription d’une hypothèque sera demandée par votre banque si vous achetez un logement neuf ou si vous faites construire votre maison. Une garantie qui coûte cher

Il s’agit de la plus chère des garanties car elle nécessite de s’inscrire au registre des hypothèques ainsi que d’obtenir un acte notarié. Il vous faudra donc payer des honoraires de notaire, la rémunération du conservateur des hypothèques et une taxe de publicité foncière. IPPD : L’Inscription au Privilège de Prêteur de Deniers

L’Inscription au Privilège de Prêteur de Deniers (IPPD) ne concerne que l’acquisition de biens anciens. Formule d’hypothèque adaptée à l’achat dans l’ancien

En cas de défaut de paiement de l’emprunteur, cette garantie permet à la banque de récupérer le capital restant dû en saisissant puis revendant le bien financé. Elle coûte moins chère que l’hypothèque car elle n’inclut pas la taxe de publicité foncière. La Caution

La caution est la moins chère des garanties. Un organisme spécialisé qui se porte caution pour vous devra rembourser le crédit immobilier à votre place en cas de difficultés. Bien que cette garantie soit la plus intéressante, ses conditions d’octroi sont strictes. La garantie à privilégier

En cas d’accord de l’organisme de caution, vous devrez verser une commission de plusieurs centaines d’euros ainsi qu’une contribution à un fond mutuel de garantie (FMG). Une partie de vos versements vous sera redistribuée au terme du prêt. Le pourcentage de ce remboursement tiendra compte des résultats de l’organisme de caution (de 15 à 75%).

Caution : une garantie de prêt immobilier moins chère

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